Mercredi 10 Avril 1991 - Suite La Nuit Chez Monique
Le soir, jarrivais à lheure prévue et Monique vint mouvrir, là le choc, je la savais capable de beaucoup de choses, mais là, surprise, joliment maquillée, habillée dun corsage noir, naturellement trop juste, absolument transparent, ce qui permettait de bien voir le dessin de ses aréoles, sans parler de ses tétons qui risquaient de percer le tissu. Une mini, mini jupe courte, cousue sur elle, enfin ses jambes gainées de bas et chaussée descarpins, ce qui permettait dimaginer que se déplaçant devait lui permettre de remuer agréablement son joli cul.
Moi : « Wouah,
lécrin est à la hauteur du bijou quil renferme,
»
Monique : « Le joli compliment,
cest gentil,
embrasses moi,
» Chose que lon ne peut refuser à une jolie femme quand cest demandé si gentiment. Aussitôt je la prenais dans mes bras, les siens venant menlacer le cou et nos corps sincrustant lun à lautre. Ses douces lèvres vinrent se coller sur les miennes alors que nos langues se caressaient. Je lui caressais le dos, tout en essayant de sortir son corsage de lemprise de sa ceinture quand Monique murmura : « Ou est ta cuisse,
», je glissais donc ma jambe droite entre ses cuisses, qui sétaient écartées pour mouvrir un passage. Moi à peine en place, Monique sabaissa et serrant ma cuisse entre les siennes, commença à frotter, par de petits coups de reins, son entrejambe sur ma cuisse. Il ne fallu pas longtemps pour que sa respiration saccélère et je me rendis compte quelle était en train de se donner du plaisir, alors que javais dautres projets pour cette soirée et cette nuit. Avec un peu de difficulté, Je retirais ma cuisse dentre les siennes, ce qui entraina : « Pourquoi, tu fais ça,
jallais jouir,
cest pas chic,
»
Moi : « Tu veux te faire plaisir sans moi,
»
Monique : « Cest pas ça,
je en sais ce qui ma pris,
cest venu tout seul,
et maintenant,
je suis toute excitée,
bon je vais me calmer,
viens à la cuisine on va préparer le repas,
jai commandé un couscous,
»
Moi : « Ça me rappelle de bons souvenirs,
allons-y,
je te suis,
» et la laissant passer, comme je lavais imaginé, sa mini-jupe enveloppant son joli cul, celui-ci se balançait agréablement, ne pouvant résister, à moins que ce soit ce quelle attendait, je la rattrapais collant mon bas ventre contre son joli fessier, en même temps que mes mains passaient sous ses bras pour semparer de ses seins, qui me parurent bien durs et bien gonflés.
Moi : « Oublies le diner pour linstant,
jai faim dautre chose,
et toi,
»
Monique : « Que proposes tu au menu,
»
Moi : « Dégrafes ton corsage que je moccupe de tes seins,
je veux les sentir aux creux de mes mains,
sentir leur douceur et leur souplesse,
et me frotter à ton joli cul,
»
Monique dégrafant son corsage : « Cest ça que tu veux,
OOOHHH,
et après,
»
Je mempressais de prendre en main ces belles rotondités et les malaxais avec une douce énergie, ce qui, en général, était apprécié de leur propriétaire, ce qui fut le cas : « Cest bon,
continues,
et après,
»
Moi : « Relèves ta jupe, que je puisse me frotter à autre chose quà du tissu,
»
Monique : « Et toi,
dégrafes ton pantalon,
que je sente si tu as envie de moi,
»
Pendant que je tombais pantalon et caleçon, la jupe fut prestement relevée, laissant apparaître son joli fessier, quelle mit en évidence en prenant appui sur la table et auquel ma bite put se frotter avec plaisir. Je me reculais pour avoir une vue densemble sur le tableau, mais la réaction fut immédiate : « Quest-ce que tu fais,
tu mabandonnes,
»
Moi : « Non, jadmire le tableau,
»
Monique : « Arrêtes,
prends moi,
jai envie de te sentir me prendre,
baises moi,
ou prends mon cul,
oui, encules moi,
Je me suis préparé pour toi, avant que tu narrives,
je te veux,
prends moi,
prends moi vite,
sinon, je sens que je vais hurler,
»
Avec de telles menaces, je me glissais entre ses cuisses, quelle ouvrit encore plus et mintroduisais dun sérieux coup de rein dans sa chatte toute chaude et formidablement lubrifiée et sans préambules commençais mes va et vient. Lensemble de ma prestation fut appréciée : « Oui,
tu es une brute,
continues,
jaime te sentir me prendre,
me baiser,
ne tarrêtes pas,
OH cest bon,
» Cramponné à ses hanches je la baisais avec force et noubliant pas ses souhaits, je lui claquais la fesse droite, la réaction fut instantanée : « OUI,
jaime,
continues,
» et je lui claquais lautre fesse : « Brute,
OH, cest bon,
ne tarrêtes pas,
je sens que je vais jouir,
OUI, baises moi fort,
jaime te sentir,
remplis moi,
OUIIIIIIIII,
OHOHOHO OUIIIIII,
HOHOH OUIIII,
» A son premier gros spasme, elle se contracta tellement fort que cramponnais à ses hanches, je me vidais dun long jet dans sa grotte damour, les deux spasmes suivants moins violents finir par me vider complètement.
Moi : « Que veux tu dire,
»
Monique : « Tu tes occupé de ma chatte,
mais tu ne mas pas prise par derrière,
dhabitude tu me prends toujours par là,
»
Moi : « Ta chatte était tellement gourmande, et jétais tellement bien que jai préféré continuer comme ça,
et la soirée ne fait que commencer,
»
Monique : « Tu as réponse à tout,
» et séloignant elle commença à vouloir refermer son corsage. Interrompant son geste : « Non tu restes comme ça,
jaime voir tes seins,
»
Monique : « Mais tu es fou,
je ne vais pas rester la poitrine à lair,
Moi : « Pourquoi,
jadore tes seins,
jaime les voir,
comme ça je vais profiter pleinement de leur vue,
»
Monique : « Non,
enfin,
tu aimes me voir ainsi,
la poitrine à lair,
»
Moi : « Jadore,
puis tu aimes que je les regarde,
que je les caresse,
»
Bon dit-elle se relevant pour abaisser sa mini
Moi : « Je ne pense pas que ce soit utile,
à cette place elle te fait une gentille ceinture,
et je peux voir ta touffe, que jadore,
et en te retournant, ton joli cul,
qui me donne des idées,
»
Monique : « Tu ne penses pas que tu exagères,
je ne vais pas me balader les fesses à lair,
Moi : « Pourquoi,
tu as de belles fesses,
qui sont bandantes,
oses me dire que tu naimes pas que je les regarde et les caresse,
»
Monique : « Non,
je ne vais pas me balader nue,
tu es réellement fou,
et moi folle de técouter,
»
Moi : « Mais non,
ça texcite,
tu aimes que je te le demande,
et tu nas quune envie cest de céder,
»
Monique : « Tu es un malhonnête,
tu profites de ma gentillesse,
dis, tu veux vraiment,
tu veux que je reste nue,
»
Moi : « Oui, jadore te voir nue,
enfin tu as encore tes bas et tes escarpins,
cest encore plus excitant,
»
Monique : « Salaud,
prends moi dans tes bras,
serres moi fort,
je tobéis,
une fois de plus je cède,
»
Et elle vint se coller contre moi avec un OH de satisfaction et pendant que je la caressais : « Jaime être contre toi,
jaime faire ce que tu me demandes,
avec toi, je ne sais pourquoi,
jai évacué toute volonté,
jaime tobéir,
»
Alors quelle sétait mise à préparer le diner, jentrepris de remettre mon caleçon, pensant que nu, je nétais pas très sexy, et voyant ça Monique sécria : « Pas question,
je suis nue,
tu restes nu,
»
Moi : « Nu,
Je ne pense pas être très sexy,
»
Monique : « Un homme nu que lon apprécie est toujours sexy, surtout, quand,
on aime voir quand,
comment vous dites, tes au garde à vous,
Jai plaisir à voir se redresser ton engin, et que dans ma main ou dans ma bouche je le sens vibrer,
je sens que tu vas me donner du plaisir, si de plus, tendrement tu me dis que tu as envie de moi,
là, je suis heureuse,
ça me fait mouiller et je suis prête à me coucher et à me donner à toi car jimagine le plaisir à venir quand ton épée sera mise dans mon fourreau,
jaime te voir nu,
et dailleurs je suis nue,
»
Jobtempérais et me mis à laider à dresser la table dans la salle de séjour, ce qui permit dapprécier les mouvements de son joli petit cul chaque fois quelle se déplaçait ce quelle devait légèrement accen ce qui dailleurs ne resta pas sans effet sur mon anatomie.
Monique : « Pourquoi,
»
Moi : « Tu me disais quelle était intéressée par tattirer dans son lit. Mine de rien elle nous invite à diner. Apéritif généreux, repas excellent très bien arrosé et au moment où je veux partir, elle ne sait pas si tu ne vas pas partir avec moi, Oh, cher ami, vous avez bien bu, soyez prudent, vous pouvez coucher dans la chambre damis et Monique couchera, en tout bien tout honneur, dans la grande chambre,
et hop,
elle tavait mise dans son lit,
»
Monique : « Tu devrais écrire des romans,
que crois-tu qui ce soit passé,
»
Moi : « Ça ne me regarde pas,
mais je suppose quelle a bien essayé quelques approches,
»
Monique : « Et après,
tu as beaucoup dimagination
cest ma vie privée,
»
Moi : « Si un jour tu cédais aux avances amoureuses de cette nana et que vous ayez besoin dun partenaire male, jai toujours rêvé dessayer un jour un trio,
»
Monique : « Tes vraiment le roi des horribles,
»
Ne voulant pas pousser plus loin ma curiosité et étant inquiet de certaines questions possibles, vu ma position dans cette lamentable histoire, je bottais en touche et nous parlâmes dautres choses.
En revenant dêtre allé cherché les desserts dans la cuisine, je passais derrière Monique, la faisant pivoter de dessus sa chaise, je passais mes mains sous ses bras, me saisissais de ses seins, en même temps que je lembrassais goulument dans le cou.
Monique : « OH,
non,
arrêtes,
»
Faisant fi de ses négations, je malaxais tendrement ses belles rotondités, qui semblaient se gonfler sous mes caresses.
Moi : « Tournes toi,
jai dun autre dessert dont jai envie,
je vais gouter à tes seins,
ou à ta chatte,
je pense quelle est plus gouteuse,
»
Monique : « Tu es un monstre,
» sétant retournée sur sa chaise et voyant la taille de « popol » et sen saisissant, elle dit : « Cest moi qui vais te gouter,
je vais te sucer comme une glace,
mais cest mieux quune glace,
quand je lèche ça grossit au lieu de diminuer,
» et elle se mit à luvre avec art et gourmandise. Sa langue, ses lèvres, même ses dents firent quil fallait quelle arrêta si je voulais essayer de contrôler la situation : « Arrêtes,
je vais exploser,
on va dans la chambre,
»
Monique avec un il brillant et moqueur : « Tu naimes pas,
cest dommage,
mais tes désirs,
sont les miens,
viens vite,
je vois que tu es en forme,
je suis prête,
jattends que tu maimes,
» et au lieu daller dans la chambre damis, on se dirigea vers la grande chambre, (mon mauvais esprit me fit remarquer que maintenant on trompait son mari mais dans la chambre conjugale). A peine arrivé dans la chambre, je constatais que le lit avait été préalablement découvert, prêt à nous recevoir et surtout Monique se collant à moi en menlaçant fortement, et alors quelle mentrainait sur le lit : « Viens amour,
aimes moi,
dis moi que tas envie de moi,
que tu me veux,
je te veux,
» et se roulant sur moi, elle posa ses lèvres sur les miennes pour un baiser goulu, puis rampant, enfin se tortillant sur moi, elle me donna ses seins que je pris à pleine bouche : « Suces les,
têtes moi,
jaime sentir tes lèvres sur mes seins,
» ses tétons étaient de nouveau durs je les suçais et surtout les mordillais, ce qui la fit se tortiller : « Arrêtes,
tu sais que ça me rend folle,
même idiote,
oui,
encore,
tête moi fort,
jaime,
» puis arrachant ses seins de mes lèvres, elle se mit sur le dos, les cuisses bien écartées : « Viens,
prends moi,
viens maimer,
je tattends,
»
Moi : « Tournes toi,
montres moi ton joli cul,
»
Sans hésiter, elle se mit en levrette, ses belles et rondes fesses bien en lair. Me positionnant entre ses jambes, je promenais deux ou trois fois ma bite de sa chatte à sa rosette, sachant que cela avait le don de lénerver de lexciter, ce qui ne tarda pas : « Arrêtes,
prends moi,
» Cétait le moment et je menfonçais dun bon coup de rein dans sa chatte ; ce qui fut largement apprécié par : « Enfin,
tu vas finir par me rendre folle,
oh cest bon,
continues,
» Cétait le moment dêtre performant, il y avait une nuit de « baise » en perspective. Cramponné à ses hanches jaccélérais mes va et vient dans son fourreau rempli dune mouille généreuse et chaude, affaire qui était appréciée : « Oui,
continues,
jaime te sentir,
prends moi fort,
cest bon,
oui,
», elle commençait à être bien chaude, je décidais de me retirer et de moccuper sa rosette, puisque plus tôt elle sétait plein que je ne lavais pas enculée. La réaction ne se fit pas attendre : « Salaud,
ne tarrêtes pas,
finis moi là,
narrêtes pas,
» et je me positionnais entre ses belles fesses en direction de son petit trou en lui disant : « Ecartes tes fesses,
je vais te prendre par là,
» râlant mais docilement posant ses mais sur ses belles fesses les écartant, elle mouvrait le chemin vers sa rosette. « Oui,
prends moi par là,
je me suis préparé pour toi,
»
Bien positionnée, je tâtais de la souplesse de son petit trou, qui se laissa être investi sans difficulté. Et je commençais doucement mes va et vient et ma partenaire ne tarda pas à réagir : « Oui montes moi,
jaime que tu me montes,
ça me rend dingue,
et je sens que je suis à toi,
»
Moi : « Tu veux te caresser,
»
Monique : « Oui,
dis moi que tu aimes,
»
Moi : « Tu aimes être prise des deux cotés,
»
Monique : « Oui,
mais tu aimes que je me caresse quand tu me prends comme ça,
»
Me souvenant quelle aimait quelques claques sur ses belles fesses, je lui en appliquait une sur chaque fesse, ce qui la fit réagir physiquement en se contractant, se qui se répercutait sur ses muscles, donc sur ma queue
Monique : « OH,
continues,
cest bon,
jaime,
je te sens me remplir,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
OOOHHHH,
je vais jouir,
OUIIIIIIIII,
OUIIIIIIIII,
OOOHHHH,
OUIIIIIIIII,
»
Au premier cri de jouissance, elle eut un spasme brutal et ses muscles anaux se contractant fit que je me vidais dun seul coup dans son fondement et la nature aidant je me retirais, alors quelle était parcouru encore de deux à trois petits spasmes, avant de sécrouler, le souffle court, sur le lit. Sans autres commentaires, elle vint se caler sur moi, un bras sur ma poitrine et une jambe sur les miennes et quelques minutes après, elle sendormait calmement. La nuit fut calme et tranquille. Vers 5,15 heures quinze je me réveillais et glissais doucement hors du lit, pour me diriger vers la salle de bains et prendre une douche avant de partir. Jallais rentrer dans la douche quand Monique arriva, sortant du lit, naturellement entièrement nue. A voir ainsi, cétait vraiment une belle femme, une poitrine un peu lourde, peut-être, mais des seins bien gonflés, un ventre plat, une taille mince, vraiment une belle femelle. « Tu allais prendre la douche,
attends,
je viens avec toi,
»
Moi : « Tu penses que cest sage,
»
Monique : « Allez,
vient,
» et nous entrâmes dans la douche et ce qui devait arriver arriva. Chacun savonna lautre, moi particulièrement ses seins et sa chatte et elle mon service trois pièces. Enfin, ou réussit cette opération délicate sans dommages et nous sortîmes de la douche chacun essuyant, séchant lautre,
Cela entraina que javais une splendide trique qui ne demandait quà trouver une belle chatte accueillante. Au cours de ces ablutions javais pu, une fois de plus, apprécier le châssis, coté pile, maintenant je pouvais me régaler du coté face, de ce joli cul quelle savait faire remuer avec élégance. La distance salle de bains, chambre fut vite franchit et Monique se laissant tomber sur le lit dit en écartant bras et jambes : « Viens,
prends moi,
aimes moi,
je vois que tu as envie de moi,
je suis à toi,
je meurs denvie de sentir sur moi,
de sentir ton souffle dans mon cou,
viens,
regardes je mouvre à toi,
je ne suis quun désir,
» Je me laissais tomber, doucement, sur elle. A peine avais-je touché ses lèvres, quune main exploratrice se glissa entre nous pour récupérer lobjet de sa recherche et maider à lintroduire dans sa chaude intimité, ce qui se fit aisément, ayant soulevé son bassin afin de me faciliter la pénétration. Aussitôt ma bite bien enfoncée dans la douceur de son fourreau, je commençais à la ramoner à grands coups de reins, opération largement acceptée par ma partenaire se cambrant à chaque pénétration et appréciant la chose : « Oui,
rentres bien,
fais moi lamour,
non, baises moi,
baises moi fort,
dis moi que je suis ta salope,
et que taimes me baiser,
» Cramponné à ses épaules jy allais à grands coups de reins, quelle encaissait avec des soupirs de satisfaction, quand tout à coup, alors que je me vidais dans son minou, elle écarta les jambes en disant : « Ouiiii,
je suis ouverte,
remplis moi,
OH je vais jouir,
OHOHOH je vais jouir,
OUIIIIIIIII,
. OOOHHHH,
OUIIIIIIII,
» et brutalement ses jambes se refermèrent sur mon dos tandis que ses ongles senfonçaient dans la peau de mes épaules et quelle fut secouée dun spasme brutal qui méjecta sur le coté du lit, celui-ci fut suivi de petits soubresauts qui contractaient tout son corps et qui étaient annoncés par des OOHH. Son orgasme paraissait surprenant par son intensité et ses réactions. Enfin se calmant elle vint sur moi : « Content de toi,
tas vu ce que tu mas fait,
il faut que je me calme,
caresses moi doucement,
» Ce que je fis avec tendresse et application, le calme revint rapidement et voyant lheure au réveil, « Il faut que je me remue,
je vais être en retard,
» et nous sortîmes du lit, pour nous préparer et pour ma part filer au boulot. Alors que je partais elle me dit : « Je te rappelle dans la matinée,
et sur, on se retrouve ce soir,
bonne journée, amour,
»
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